One year later •°o. Azylis & Valérian

Invité

Azylis & Valérian

Début d'après-midi à Biarritz, le soleil est au plus haut dans le ciel. Le début des vacances scolaires, ce qui signifiait Plùm et Mathéo, tous les jours, à la maison. Du bruit tous les jours. C'est ce que Valérian devait supporter quand ils ne sortaient pas avec leurs amis, ou pire, quand ils en invitaient, il ne pouvait pas leur interdire. Il n'était pas aussi cruel, alors dans ces cas là, il prenait a voiture et leur laissais la maison pour se rendre au Red Light boire un verre, tranquillement. C'est ainsi qu'il se retrouva assis sur un tabouret des plus esthétiques à chercher Johan du regard. Peut-être qu'il bossait pas aujourd'hui. Tant pis, il boirait silencieusement son verre et laisserait le temps passer. De toute manière, il prenait le boulot à dix-huit heures. Service de nuit. C'est ce qu'il préférait, de un parce que ça lui permettait d'être payé double, et de deux, parce qu'il préférait. Oui, sans raison évidente, il appréciait travailler la nuit. Bon, ce n'était jamais de tout repos, surtout quand le lendemain matin il rentrait chez lui et se rendait compte que son frère et sa soeur avait organisé une soirée clandestine. Dans ces cas là, ce n'était pas une explosion de bonne humeur, vraiment pas. Il devait jouer à la police, ce qu'il détestait par dessus tout pour avoir détester son père quand il le faisait. Une longue et délicate histoire. Il commanda un cocktail qu'il le connaissait pas, ce genre de cocktail que la maison inventait pour les vacances, pour amener du monde. Oui, qui dit vacances à Biarritz, dit touriste à foison.

Alors que son verre vint jusqu'à lui, pendant qu'il remerciait le barman, une jeune femme vint s'assoir à un tabouret d'écart de lui. Il ne la remarqua pas immédiatement, et pourtant, il la connaissait, même plutôt bien. Seulement, il n'y fit pas tout tout de suite attention, perdu dans ses pensées, jusqu'à ce qu'elle parle pour commander à son tour quelque chose. A ce moment, il tourna la tête vers elle, et l'observa longuement. Azylis Carmichael. Rencontrer dans un même bar quelques années plus tôt. Il l'avait dragué, du moins, avait tenté, mais l'avait remis à sa place. Il s'en souvenait comme si c'était hier, une époque qui était bien révolue maintenant, il ne se permettait plus tous ces excès. Bref, au final, ils avaient fini la soirée dans le même lit. Valérian s'empara de son verre et se déplaça vers la jeune femme, sans un mot en premier lieu. Il dévia une nouvelle fois son regard vers elle. « Ca faisait longtemps Az' » Dit-il à l'attention de la brune, peut-être allait-elle lui en vouloir de ne plus avoir donné de nouvelle depuis maintenant ... Plus d'un an.

one year later

superman. ⚓ It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. Tout le monde se cache de la vérité. Il n'y a ni de mensonges, même pas de vraie raison comme de réalité. Elle a menti à beaucoup de personnes alors qu'elle les aime. Et tout le monde le sait, de temps en temps la vérité fait soit beaucoup plus mal, soit elle sépare. Personne d'autres que lui et elle-même ne sait vraiment ce qu'il s'était produit. Même sa soeur ne sait encore, après trois ans, leurs venues ici à Biarritz. Chose qu'elle aurait dû se douter quand Azylis a trouvé rapidement un job. Son job étant la cave familiale situé au centre de la ville. En vérité, deux choses se serait produits. Mais qui sait peut-être sa culpabilité ne la rongera plus. Et qu'au final, tout ira pour le mieux. Bien qu'elle soit parfois optimiste, elle n'est pas plus rassurée sur la relation qu'elle entretient maintenant avec lui, son mari. Tout au point ce soir, ça n'allait pas être glace-canapé-télé. Non au contraire, elle avait bien envie d'un petit verre de rouge. Mais pas que !, plaisanta-elle intérieurement.

On boit une bière. On inhale une substance, un gout sucrée qui nous rappelle des souvenirs. La première gorgée qu'on a prise pendant une soirée. La première fois qu'on a gouté ce gout fruité. Cette envie gourmande et l'envie d'en regoûter à nouveau pour se souvenir du passé. Mais chacun à ses envies et ses petites gourmandises de tout les jours. Comme chacun à sa propre mémoire. Personne n'a besoin d'une autre envie. A part ceux qui on besoin de beaucoup plus. Ceux qui ont besoin de quelques choses autre qu'un besoin vital. Comme par exemple celui de l'adrénaline. L'aldrénaline on pourrait croire qu'elle est très inaccessible mais tout le monde en a l'accès. Et même que vous le faite d'ailleurs tout de suite, ou dans quelques minutes à votre pause. Bien oui, la cigarette en est une. Pas besoin de chercher plus loin. Dans tout les cas, Beezus en a une. Elle est noire, petite et, en cuire sur le dessus. Sa moto s'est sa fille. Elle ne la pas mise au monde...

Bref, du coup son casque sur le coude. Elle entra dans la boite de nuit. Plus typique basque, tu meurs !, pensa-t-elle. Sa première pensée étant cela, il y a trois ans, elle s'y est beaucoup habituée d'ailleurs s'en est presque une habitude de venir ici. Bien qu'Alva y travaille. Elle aime y boire un verre. Même seule. Elle ne savait si Alva travaillait ce soir. Ce qui ne la fais pas moins se reculer. Elle avoue que depuis trois ans, elle n'a rencontré pas grand monde. Au contraire de sa soeur, Hazel. Elle s'installa à une chaise près d'un homme qu'elle remarquerai entre mille et apprécie à chaque fois qu'elle le voyait. Oui ceci dit, elle ne l'a pas recroisé depuis un an. C'est à dire depuis un bail, sourit-elle. Cet homme c'était Valérian. Un homme distrayant au possible. Si mon mari le saurait (un jour), malgré sa bonne musculature, Val serait un peu plus qu'un trombone. Elle commanda un mojito. Quand Val' s'approcha d'elle et lança. « Ca faisait longtemps Az' ». Sa pensée la fit rire. Mais n'en dis pas un mot. « Tiens Val'. Oui ça fait bien un an qu'on ne s'est plus recroisé. Comme si on avait ... », dit-elle comme si elle avait pas déjà remarque, en s'interrompant au milieu pensant que son idée était complètement idiote. « Bref, du coup qu'est-ce que tu deviens ? », dit-elle restée fixer aux murs de bouteilles face à elle et sirotant son mojito.

Invité

Azylis & Valérian

Le Red Light, boite de nuit populaire à Biarritz, c'est la boite de nuit de la ville. C'est dans cette dernière que Valérian a mis pour la première fois les pieds, et une fois qu'il y est entré, il a mit énormément de temps avant d'en sortir. Il a prit tout de suite goût à l'ambiance, aux gens, à la musique, au lieu. Tout. Elle a bercé toute son adolescence, et ton entrée dans la vie active. Maintenant, lorsqu'il y venait, c'était simplement pour prendre un verre, rien de plus, histoire de profiter un peu du temps qu'il avait pour soi. C'est pourquoi il s'y rendit aujourd'hui, bon, c'était aussi parce qu'il avait été mit dehors de chez lui. Passons. Il s'installa au comptoir et commanda un coktail maison avant d'apercevoir cette personne qu'il connaissait bien. Même très bien. Il changea alors de siège pour se rapprocher d'elle et engagea la conversation. Ca faisait un long moment qu'ils ne s'étaient pas vu tous les deux.

« Tiens Val'. Oui ça fait bien un an qu'on ne s'est plus recroisé. Comme si on avait ... » Il attendit la fin de la phrase qui ne vint pas. Alors qu'il l'observait du coin de l'oeil, elle, elle avait les yeux rivés sur les bouteilles du barman. Il ne se gêna donc pas pour observer ce qu'elle avait commandé. Mojito. Bon choix. « Bref, du coup qu'est-ce que tu deviens ? » Ce qu'il devient ? S'il lui disait, elle n'allait pas le croire, mais il avait bien envie de voir sa réaction. « Si je te dis que je suis devenu un homme mature et responsable. » Lui dit-il, gardant le sourire. C'était la stricte vérité. Il n'avait pas eu le choix en même temps, mais ça, il le garderait pour soi, elle n'avait pas besoin de savoir le pourquoi du comment, et puis, c'était bien trop dur pour lui d'en parler de toutes les manières. Parler de cette mort tragique n'était pas son domaine, il faisait un peu comme son frère, c'est vrai. « Mais sinon, rien de bien intéressant, je bosse toujours à l'hosto. Et toi alors Beezus ? Quelles choses intéressantes rythment maintenant ta vie ? » Du jour au lendemain, plus de nouvelle, enfin, pas vraiment. Elle l'appelait, il répondait qu'il ne pouvait pas, car il était en couple, pendant des mois ça a été ça, puis ensuite plus de nouvelle. Accident tragique qui l'a changé. Oui, c'est plutôt ainsi que tout cela s'est produit. A chaque fois qu'il y pensait, il se rendait compte que tous ceux qu'il fréquentait il y a un an avait subitement disparu de ses amis, ou tout du moins, ce ses fréquentations quotidiennes. Comme un renouveau, une remise en route, un nouveau départ. Il ne savait pas si c'était une bonne chose d'ailleurs.

one year later

superman. It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. « Si je te dis que je suis devenu un homme mature et responsable. ». Suis-je dans entrain de rêver. Ou est-ce réellement ce que je viens d'entendre. Mr le dragueur invétéré que j'avoue avoir gouté à ses douces lèvres et à ce corps si athlétique, me dit alors qu'il a finit avec tout. Enfin à vous à chat perché dans sa chambre, voire ailleurs. Je dis chat mais.. Que sait-il donc passé ! Je suis très curieuse de ce qu'il va me raconter. Et aimerai beaucoup qu'il me dise ce grand changement spatio-temporial, que d'ailleurs j'étais aucunement mise au courant. Oui avec lui ça ne peut qu'être spirituellement spatiale et ovniciale. Des mots que je pensais sérieusement à me poser la question si ils s'existaient véritablement. Après un an, quoi de mieux que de profiter un peu de cela. Plus tard, je jouerai un petit jeu bien marrant et mon jouet principal ne sera donc lui. Juste par pure curiosité et affirmation. Par pure plaisir et ainsi, le taquiner, je lui lançe. " Je peux rire ou t'es vraiment sérieux ? Qu'est-ce qui a bien pu te faire changer comme ça, et de passer du coq... à l'âne xD ", dis-je enjouée. Je continue avec la tête d'une fille studieuse, sérieuse et ordonnée. " Non sérieusement, qu'est-ce qui t'as poussé à devenir responsable ? (bois une gorgée et repris) T'as trouvé une femme ? ", l'air surprise.

Je m'assoit dos au bar observant les personnes présentes au Red Light. Mon verre à la main, tout en les sirotant un par un, personne ou du moins les plus fous et marrants que je vois passés à la casserole. Les couples : timides avec leur partenaire, les nouveaux tout frais. Mais aussi, les groupes d'hommes. Ceux qui jettent leur dévolus sur une, voire plusieurs femmes. Mais aussi les hommes qui se prennent des vents, des râteaux... Qu'est-ce que je peux en rire au fond de moi de les voir tous espérant trouver leurs âmes soeurs ou même le garder. Oui des femmes sont là soit à espionner leurs mari, ou à les fliquer. Azylis est de loin très heureuse de ne plus avoir à faire ça. Mais pour combien de temps qu'il la retrouve et la pousse à revenir à Whitehorse. « Mais sinon, rien de bien intéressant, je bosse toujours à l'hosto. Et toi alors Beezus ? Quelles choses intéressantes rythment maintenant ta vie ? » c'est comme ça qu'il change de sujet, le petit. Aller va ! Tu vas vite revenir au sujet précédent. Dans tout les cas, chez moi il y a rien de plus croustillants. Alors, je fais comme lui, je change de sujet " Tu vois l'homme à la chemise bleue, assis ? Depuis tout à l'heure il arrête pas de te mater. Je crois que t'as une touche ", dis-je sirotant mon verre et levant les yeux.

Invité

Azylis & Valérian

L'observant après ses révélations, il attendant une quelconque réaction de sa part en souriant, tout en tenant entre sa main droite, son verre de cocktail. « Je peux rire ou t'es vraiment sérieux ? Qu'est-ce qui a bien pu te faire changer comme ça, et de passer du coq... à l'âne. » Il fit sa petite mine surprise, avant de reprendre son sérieux et hausser les épaules, attendant qu'elle continue. « Non sérieusement, qu'est-ce qui t'as poussé à devenir responsable ? T'as trouvé une femme ? » Il laissa un sourire se balader sur ses lèvres en prenant à son tour une gorgée de son verre. si ça pouvait être qu'une fille putain. Il aimerait bien. Mais non, ce n'était pas aussi simple. Un accident mortel, c'est jamais super. Alors non, il n'allait pas lui dire la vérité, certainement pas ! Il ne voulait pas qu'elle le sache et qu'elle commence avec la compassion, il en avait des gens qui répondent un petit " je suis désolé" ou encore un "comment tu le prend". Mal, très mal, alors il n'avait pas envie d'avoir affaire à ça et resterait donc muet. « Ris donc, vas-y. Qui sait, peut-être bien. »

Rester évasif, mystérieux, il savait y faire maintenant, et puis finalement, changer de sujet avec un tact des plus appréciables. Il maitrisait tout ça depuis un an maintenant. « Tu vois l'homme à la chemise bleue, assis ? Depuis tout à l'heure il arrête pas de te mater. Je crois que t'as une touche » Curieux, il se retourna sur ton tabouret et observa l'homme, qui le regardait effectivement. Ou alors, c'était Beezus, ce qui était plus probable, vu la créature divine qu'elle était. Il fallait l'avouer, elle était sublime cette brunette. « Hum ... Intéressant tout ça. Mais comme je ne suis pas libre, je suis généreux, et je vais te le laisser. » Oui, il se faisait passer pour un mec pris, un mec en couple. Tant pis, c'était là ou plomber l'ambiance en lui sortant qu'il avait changé car ses parent étaient morts et qu'il s'en voulait atrocement de ne pas avoir été assez présents pour eux. Manquerait plus que ça, et puis, il voulait se changer les idées. « Avoue qu'il te plait et que tu meurs d'envie d'aller le voir. Si tu veux, je vais le chercher pour toi. » Il lui fit un clin d'oeil, tout en revenant vers le comptoir, enfin à moitié. Il était surtout tourné vers Azylis, à l'observer, tout en tenant son verre dans sa main. « Un petit signe et je te le ramène. » Il aimait bien la taquiner, en même temps, elle avait commencé non ?

one year later

superman. It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. Lui, il sait très bien se faire mystérieux et discret. Mais c'est quand plus de cela il est canon en le fesant. « Ris donc, vas-y. Qui sait, peut-être bien. » Il voudrait que je ris. Mais rire de quoi ? J'aurai bien l'air conne tout simplement et ça sera lui qui se foutra de ma g*ule . Je ne voudrais pas lui donner se malin plaisir. Ca y est, il va vite me trouver si ça continue. " Ah bah d'accord! Tu sais ce que ça sera en échange de ta bonne foi, pour la peine tu m'inviteras à danser. ", dit-elle l'air sérieuse. Non je ne suis pas du tout sévère. Au contraire C'est une stratégie. Tout au point, il ne restera pas bien longtemps muet. Vous pouvez me croire (a).

Moi aussi je peux très bien rester évasive voire même pas en parler du tout. Au lieu de répondre à sa question. Et c'est ce que j'ai fais en lui faisant croire qu'un homme s'intéresse à lui. Bien que pour la peine, ça pourrait avoir marché pour de vrai. Et m'aurait bien fais rire si cela aurait été le cas. Ce n'était pas du le cas . Il y avait plutôt une masse de filles qui le dévisagé tout autour de nous. Alors je pris les grands moyens. C'est pas que je le veux pour moi seule. Mais j'aimerai bien avoir juste une seule paire d'oreille à coté de moi. Je fis à voix basse. it's mine, sorry girls, l'air triste et fait un signe de la main en fermant simultanément. Après une seconde de réflexion les voila s'enfuirent en direction des toilettes. Je me mis à rire et me retourna vers Valérian. " Ah non mais ce n'était qu'une mascarade. J'voulais juste voir ta tête (a) (un temps) tu vas pas quand même me faire ça ", dis-je éperdument bizarre. Elle s'arrêta montrant volontairement la file de filles rentrant dans les toilettes. " C'était pour elles ". D'un coup, son air de plaisanterie s'arrêta remplaçant la quiétude.

Invité

Azylis & Valérian

« Ah bah d'accord! Tu sais ce que ça sera en échange de ta bonne foi, pour la peine tu m'inviteras à danser. » C'était un air des plus sérieux, qui fit sourire le jeune Valérian. Danser ? Oui, il savait danser, mais danser avec Beezus, c'était autre chose. Il savait comment ça allait finir s'il se lançait là-dedans. C'était d'ailleurs assez excitant, il avait l'impression de revenir des mois auparavant, quand il draguait tout ce qui bougeait et se laissait vivre au rythme des excès. C'était pourtant le passé, mais toucher un semblant de passé ne pouvait pas faire de mal, pas tout de suite. Il savait de toutes manières que ça ne mènerait à rien car autant étrange que ça puisse être, il avait perdu ce goût des excès. « Ai-je le choix ? » La questionna-t-il alors, levant légèrement ses sourcils devant la brune qui sirotait toujours son mojito.

« Ah non mais ce n'était qu'une mascarade. J'voulais juste voir ta tête tu vas pas quand même me faire ça » Devant son air bizarre, qui le fit rire, il prit sa petite mine du mec qui réfléchit , car oui, il sait réfléchit le brun. Bref, il fit mine pour l'embêter alors qu'elle continuait de parler. « C'était pour elles » Valérian tourna légèrement son regard vers l'endroit que la brune lui montrait, et un sourire s'étira devant la masse de jeunes femmes. C'était quelque chose dont il ne faisait plus tellement attention, c'est vrai, il prenait son verre, tranquillement, puis partait, simplement. « Hum ... Je vois, tu m'as donc sauvé d'une horde de demoiselles en chaleur. » En déduit-il, en buvant une gorgée du liquide rouge de son verre avant de finalement le boire cul sec. « Mais comment puis-je donc te remercier de ce sauvetage des plus impressionnants. » Bon, d'accord, il exagérait un peu. Oui, même beaucoup. Mais c'était une fois encore, pour l'embêter. « Je t'aurais bien présenté le mec là-bas, mais apparemment, c'est pas ton style. Va donc falloir trouver autre chose. » En même temps, il faut avouer que l'homme à la chemise bleue n'était pas une beauté fatale, bien loin de ça d'ailleurs.

one year later

superman. It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. « Ai-je le choix ? », dit-il d'un air que je connaissais bien. Cet air qu'un homme s'emploie à réaliser des heures devant son miroir. Bah ouai ! tout travail sont effectués minutieusement . D'ailleurs, depuis tout à l'heure alors que je lui parlais normale. Oui de temps en temps ça m'arrive x). Dans ma tête passait des dizaines et dizaines de questions plus probables et improbables les unes que les autres. Des questions de la raison de son changement. Vous en citer viendrait à y rester pendant des lustres et des lumières. Mais soit ! Il peut me faire n'importe quoi.. Du moins à me faire passer pour une dingue sortit tout droit d'un asile pour cause schizophrénie alternée. Mais vamos ! " Juste une danse. Je te demande pas la lune, à part si tu es nul et que tu vas te taper la honte. ", souris-je naturellement amusée. C'esr pas comme si j'allai lui sortir mon numéro d'il y a un an. Si je l'aurai voulu, il l'aurait su bien avant. Je termina mon verre et en levant le bras, je fis signe au barman montrant mon verre et celui de Valérian en disant : Pareil. Un seul ça ne me suffira pas, j'ai soif.

Alors que la minute précédente, j'avais remarqué cette horde de filles bavant sur Valérian. J'avais pris les moyens qui faut pour enfin me débarrasser d'elles. A l'instant où les filles rentraient dans les toilettes, il m'en déduit que je l'avais sauvé et voudrait me remercier. " A la vue de ton grand sourire, je ne pense pas que cela t'aurais vraiment déranger si tu les avais remarquer avant moi. A part si cela est vrai, mais tu t'aurais contredis en disant que t'avais changer. Et t'aurais eu tord ", déduit-elle. Un homme, plus ou moins laid à la chemise bleue que j'avais fais semblant en avouant qu'il avait un faible pour mon partenaire de verre. En l'occurence Val. J'aime le taquiner, voire à me faire désirer. Val voulait vraiment me mettre dans des états lamentables. " Tu crois ? il est peut-être encore plus canon que toi ", dit-elle joueuse. En marchant droit devant elle rejoignant la table de l'homme, elle savait très bien qu'il n'est pas son genre. Elle se retourna vers Val et lui lance assez fort. " Prêt à te ridiculiser, mon coco. Si je gagne, tu sais ce que je veux "

Invité

Azylis & Valérian

« Juste une danse. Je te demande pas la lune, à part si tu es nul et que tu vas te taper la honte. » Il sourit devant son air amusé, avant de hausser les épaules pendant qu'elle commandait à nouveau deux verres au barman, qui d'ailleurs n'était pas Castiel ce soir. Dommage, il lui aurait bien touché deux mots sur l'importance de ses études, tout ce qu'il n'aurait jamais dit il y a encore un an. Bref. « Douterais-tu de me capacité ? » Dit-il, sur un air faussement vexé comme il savait si bien les faire. Le genre d'air que les arrogants utilisent souvent, comme quoi, sa vie passée n'avait pas totalement servie à rien. Pas totalement Le barman revint avec la commande, et Valérian s'empara du verre pour trinquer avec la brune et demander un cul sec, tant qu'à faire, ça allait être le dernier de la soirée, il le savait, il bossait après.

Il suivit son flot de pensées et paroles mélangées assez difficilement, sans vraiment savoir où elle voulait en venir. Dans tous les cas, il se fichait des pré pubères à la recherche du mec pour rendre jalouse les autres autres pré pubère, non, ce n'était pas tellement son style, certainement pas. Elle se leva alors et commença à marcher vers l'homme à la chemise bleue. Valérian réprima difficilement un rire devant le déhancher de la brunette, prête à passer à l'action. « Prêt à te ridiculiser, mon coco. Si je gagne, tu sais ce que je veux » Il se leva alors à son tour et lui attrapa le bras, la faisant tourner vers lui et l'emmenant à sa suite vers la piste de danse où déjà pas mal de monde se déhancher au rythme endiablé de la musique de la boite. « Bah alors, surprise ? » Dit-il, avec ce petit air amusé avant de commencer à danser tout prêt d'elle. « Je ne voulais certainement pas te laisser te ridiculiser devant cet homme voyons. » Justifia-t-il son geste. Est-ce qu'il savait danser ? Oui, combien de temps avait-il passé sur les pistes de danse à draguer les premières minettes qui passaient ? Bien trop de temps. Une chose qu'il préférait oublier car ça ne rimait plus vraiment avec la vie qu'il devait assumer.

one year later

superman. It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. « Douterais-tu de mes capacités ? » Son ton aurait pu être vrai et aurait pu très bien me corrompre. Mais son visage en disait le contraire. Ses lèvres faisaient une mimique et bouger sans cesse. Son regard n'était pas fixe : Il regarde son verre, puis moi, son verre et ainsi de suite. Est-il nerveux ? Mes yeux divaguais un peu partout autour du bar et de la salle. C'est comme si je pouvais sentir son coeur battre. Un battement qui bat très vite. Il n'était surement pas vexé. Non, en déduis-je certaine. C'est comme si je pouvais lire à travers son regard. Si mystique. " non loin de là. Sinon je ne t'aurais pas demander. Si tu te souviens bien, ça ne sera pas la première fois ", riai-je silencieusement. Oh que oui qu'il s'en souvient. On l'avait même appeler.. après plusieurs verres. La danse sexy de la nuit . Oui c'était ça, pensa-t-elle mélancoliquement. " Tu sais que tu étais plus drôle il y a un an ", dis-je sans vouloir avoir de réponse précisément. Ceci dit, ce fut la première fois que j'étais mélancolique. Surtout avec lui. Normalement ça devrait être avec mon mari, me souvenir des derniers pas de danse par exemple qu'on avait partager ensemble. Mais non rien. J'étais comme vidée de tous souvenirs partagés avec lui. Comme si je ne l'avais jamais connu. Bizarre d'autant qu'en plus, je suis toujours mariée à lui. Bref, il y a quelques minutes j'avais commandé un autre verre et en prenant soin d'en prendre un pour Val. LEs verres servit, Valérian s'empara de son verre et bu cul sec. Dans ses yeux, je vois que je devais en faire autant. Alors, je pris mon verre timidement et engloutis l'intégralité du verre. Val me regarda impressionné. Le mojito descendit doucement alors je sentis le gout amère qu'il produit lors de ceci. Pour faire reconnaitre ma gloire, enfin du moins l'exploit, j'esquisse un léger bruit de soulagement .

Valérian n'hésite jamais quand il veut me taquiner. Mais rien ne pourrait m'en empêcher. Moi Azylis Jamais ! Alors que j'étais entrain de rejoindre l'homme assis, à la chemise bleue. Je savais déjà que Val allait faire quelques choses. Quoi ? Cela reste encore un mystère. Quand au moment où je m'y attendais le moins, il me pris le bras et m'emmena jusqu'à la piste de danse, près de lui. Il me lança alors. « Bah alors, surprise ? », de son air arrogant. Ah bah oui il était fière hein (a) Ceci dit : " ah non le pauvre, tu lui a fais une fausse joie ", dis-je entre rire et tristesse. Je fis la moue avec ma lèvre supérieure en regardant dans mon dos. Il se justifia en disant qu'il ne voulait absolument pas me voir ridiculiser. Je souris et dis. " T'étais surtout jaloux quz je m'interresse à un autre homme que toi "

Invité

Azylis & Valérian

« non loin de là. Sinon je ne t'aurais pas demander. Si tu te souviens bien, ça ne sera pas la première fois » En effet, ce n'était pas la première soirée que les deux jeunes gens passaient ensemble, bien au contraire. Elle laissa ensuite une touche de nostalgie planer, pendant que Valérian repensait à toutes ces soirées qu'il avait pu faire avec elle. Des bons souvenirs, c'est vrai. Mais ce n'était que des souvenirs et ça ne se reproduirait jamais. Il devait se montrer responsable, mais surtout, montrer le bon exemple à son frère et sa soeur, c'était primordial. Il la rattrapa donc avant qu'elle n'aille vers l'homme à la chemise bleue, qui eut une expression des plus étrange sur le visage. Oui, il venait de se faire une bonne fausse joie, mais quelque chose d'assez étonnant, ce que ne tarda pas de faire remarquer Azylis avec cet air amusé qui lui allait si bien.

« T'étais surtout jaloux quz je m'interresse à un autre homme que toi » Il prit son air innocent en la fixant. « Quoi ?! Moi ? Non, pas du tout voyons. Je ne suis certainement pas le seul homme auquel tu t'intéresses. » Il plongea son regard azur dans celui de la brunette pour accentuer ses paroles. Ils savaient tous les deux très bien de quoi il voulait parler. Il n'était pas dupe Valérian. Bref. Ils dansèrent alors, pendant de longues minutes, échangeant quelques regards, quelques paroles, quelques gestes, avant de finalement revenir au comptoir, légèrement essoufflé. « J'avoue que ça m'avait un peu manqué. » Lui souffla-t-il, en commandant un verre de jus de fruits. Oui, de fruits, et alors ? Il embauchait dans peu de temps, et il ferait mieux d'être déjà partie d'ailleurs. « Mais toute bonne chose à une fin ! Je suis désolé de te laisser, mais le devoir m'appelle malheureusement. » Il lui fit un clin d'oeil, tout en buvant l'entièreté de son verre. Il vint lui laisser un petit baiser sur la joue, avant de s'en aller de la boite de nuit. Prochaine étape, l'hôpital !

one year later

superman. It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. « Quoi ?! Moi ? Non, pas du tout voyons. Je ne suis certainement pas le seul homme auquel tu t'intéresses. ». Il me fixe pendant de longues minutes de ses profonds, essayant de m'atteindre sentimentalement. Mais il le savait très bien au fond de lui qu'il n'avait pas tord. Parce que c'était bien vrai . Mais Adriel, son amant d'une nuit il y a trois ans ne confirme pas la règle malheureusement. Il restera tout de même son amant préféré Chose qui n'en est pas plus facile pour moi toujours dans l'avoue. Il aurait pu être le seul pour qui je pouvais ressentir un quelque sentiment. Parce qu'il ne faut se leurer l'amour ne se commande pas. Et même si je voudrais que l'amour qui était née entre Eze et moi auparavant, reviennent ou se termine même définitivement. Un choix était donc à faire. Et c'est bien la seule chose que je crois. Les choix les plus durs sont ceux qui ne vous quittes pas vos pensées. Pourquoi alors répondrerai-je si il en savait beaucoup plus sur moi que lui. Pas besoin de lui en savoir d'avantage et lui disant que tu as bien raison. Ca serai vraiment trop gentille de ma part. Et je ne veux pas lui en donner cette peine... Pendant de longues minutes, nous échangeons des pas de danse. Je dansais non loin de lui, mais restant assez distante. Ca serai vraiment trop facile . Mais bon, je dois bien l'avouer qu'il a toujours autant bien danser. En passant de son déhanchés endiablée, que toute les filles aimerai voir un privée et de son regard bleu azur divin qui te fixe souriant. Je ne peux que craquer... ou pas. Après plusieurs paroles, ainsi que de la danse et des sourires, nous y avons finis. Et mon défi a été bien sur été relevée. Comme quoi ! Arrivant au bar, , « J'avoue que ça m'avait un peu manqué. » M'avait-il avouer dans l'oreille. Bien sur que ça l'avait manqué, pensai-je en me congratulant intérieurement. Du moins un peu x) " C'était évident. T'as vu ton déhanché. J'étais super jalouse. ", dis-je essoufflée, acquiescent d'un sourire. Je me tenais au bar alors qu'il commanda un jus de fruit. Vu l'heure, je ne me posait pas de questions. Je fis un sourire au barman exprimant d'avoir la même chose. Mais il ajouta. « Mais toute bonne chose à une fin ! Je suis désolé de te laisser, mais le devoir m'appelle malheureusement. ». Il but l'intégralité de son verre, me laissant ensuite un léger bisou sur la joue avant de se retirer dehors. Surprise, je fis. " C'est comme ça que tu t'en va. A la sauvette alors que ça fait un an qu'on ne s'est pas croisé. Tu veux peut-être que je t'accompagne jusqu'à l'hôpital ? ", regardant ma montre et essayant de le rattraper dehors. Je savais bien qu'il travaillait. Surtout à cette heure. N'y pensant plus, je courut vers le bar et bu mon dernier verre de la soirée et revenait à l'extérieur.

Invité

[quote="Valérian Maltais"]

Azylis & Valérian

« C'était évident. T'as vu ton déhanché. J'étais super jalouse. » Il éclata de rire devant les paroles de la belle brune. C'est vrai que ça faisait un moment qu'il ne s'était pas déhanché de cette manière. La danse, il aimait bien, et c'était un bon moyen de draguer ou d'attirer les filles à soi. Il faut l'avouer, ça fonctionnait très bien. « Il faut dire que j'avais une très bonne partenaire. » Rajouta-t-il, avec sa petite voix sensuelle pour le plaisir de charmer. Oui, il avait le droit, juste un peu, de jouer, de chercher, d'attirer, de toutes manières, il restait un homme, et il savait pertinemment que ça n'irait pas plus loin, parce qu'il ne le voulait pas. C'était ainsi qu'il fonctionnait maintenant.

Il regarda alors sa montre et se rendit compte qu'il était temps d'y aller maintenant. Oui, le boulot l'attendait, et il valait mieux pas qu'il arrive en retard. Ca ne s'était jamais produit, là dessus, il avait toujours été sérieux, d'autant plus maintenant. En fait, il arrivait toujours en avance. « C'est comme ça que tu t'en va. A la sauvette alors que ça fait un an qu'on ne s'est pas croisé. Tu veux peut-être que je t'accompagne jusqu'à l'hôpital ? » Elle l'avait suivit jusque dehors, et il sourit devant cette proposition. Oh oui, il voulait bien qu'elle l'accompagne. C'est vrai qu'après un an, être obligé de s'en aller aussi vite. C'était fâcheux. Bref. « Si Madame veut bien se donner la peine de monter dans ma voiture, ce sera avec grand plaisir. Par contre, je ne sais pas comment tu feras pour revenir ici après » Dit-il, alors que l'hôpital était à quoi ? 500 mètres ? Quelque chose comme ça. Ce n'était pas très loin, c'est vrai, mais en talons, c'était délicat non ? Il marcha alors jusqu'à sa voiture où il lui ouvrit la portière tel le gentlemen qu'il était avant de monter côté conducteur pour démarrer son petit bijou. Sa voiture, c'était une des choses les plus précieuses qu'il possédait. Il l'avait acheté avec son fric - et non celui de papa - après des années pour économiser. Ca lui faisait mal au coeur de penser, parfois, qu'il devrait la vendre pour en acheter une plus vieille et ainsi récupérer un peu d'argent. Il n'en était pas là, pas encore, et heureusement, mais peut-être que ce jour viendra à un moment donné ...

one year later

superman. It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. « Il faut dire que j'avais une très bonne partenaire. » Quel beau compliment qu'il me dit là mais ça marche toujours pas. Je le voyais avec son sourire ravageur et sa voix charnelle. Oui je suis un peu contradictoire mais je suis difficilement accessible niveau drague. Cela aurait marché il y a quelques temps, quand elle allait pas bien, paumée. Mais aujourd'hui, elle est bien déterminée à faire sa loi . Même si elle reste quand même ouverte, sociable et généreuse. Elle risquera de devenir très méchante dans diverses situations. " Arrête tes bonnes manières va ^^ ", dis-je naturelle. Je ne suis pas blonde, ok je suis une femme, ok j'ai besoin d'un peu de reconnaissance comme les hommes en fait Mais entre amis, la politesse c'est pas toujours obligée. J'ai dis pas toujours

Il s'était arrangé de partir vite de la boite. Mais personne ne pourrait arrêter la tornade Azylis. Je le rattrapa vite après avoir finit mon verre et récupérais mes affaires. Après la demande que je lui avais proposé. C'est-à-dire de l'accompagner jusqu'à l'hôpital. Oui je n'étais pas dupe, il travaillait cette nuit. Il n'allait pas rentrer comme un bon père qu'il le serai. Puisqu'il ne l'est absolument. Quoique ? Finalement je ne sais rien où du moins de ses fréquentations en ce moment. Une bonne question que je venais de me poser. « Si Madame veut bien se donner la peine de monter dans ma voiture, ce sera avec grand plaisir. Par contre, je ne sais pas comment tu feras pour revenir ici après », dit-il perplexe. Je souris avec les dents, à la vue de ses sourcils suspicieux. Le genre de mouvements de sourcils qu'on peut trouver dans une situation telle que quand tu comprends pas la blague d'un ami et t'aimerai rigoler mais qu'en fait sa blague est dès plus nulle Il m'ouvrit la portière. Un geste que j'apprécie tellement chez un homme. Un VRAI. J'esquisse un sourire et un doux merci quand je vins à m'installer dans sa voiture. Sa voiture ? Peu importe, tant qu'il va pas dans un fossé comme... quelqu'un x). Un silence s'installa pendant quelques mètres, avant que je ne lance. " et sinon beau brun a trouvé sa raiponce ? "

Invité

Azylis & Valérian

Valérian fit preuve de bonnes manières en lui ouvrant la porte, avant de rejoindre à son tour la voiture côté conducteur. Il s'assit lentement avant de mettre le contact et démarrer. Le silence ne dura que le temps de quelques mètres avant que la brune ne lance une question. « et sinon beau brun a trouvé sa raiponce ? » Il sourit, doucement, en fixant toujours la route. Depuis l'accident de ses parents, il évitait de faire n'importe quoi avec sa voiture. C'était un vrai blocage. Alors qu'il fut un temps il était considéré comme dangereux au volant, maintenant, il était un exemple à suivre. Si seulement il avait pu s'assagir sans ça. Bref. Est-ce qu'il avait trouvé sa raiponce ? Oh, il en avait bel et bien trouvé une, il y a même plus d'un an de cela. Blonde avec un caractère de feu, mais il se trouve qu'elle lui avait ordonné de ne plus lui adresser la parole. Il avait joué au con et avait perdu.

« Hum ... Je ne dirai pas ça comme ça en fait. » Commença-t-il, légèrement nerveux. Ce n'était pas le sujet de conversation avec lequel il était le plus à l'aise, il fallait l'avouer. Parler de sa vie sentimentale, surtout en ce moment, c'était comme parler du vide. A quelque chose près. « Disons que beau brun à trouver sa raiponce, mais que sa raiponce n'a pas trouvé son beau brun, vois-tu. » Il lui lança un magnifique sourire. Ouai, c'était ça, elle ne voulait plus de lui, il l'avait lâchement plaqué il y a un an, et la dernière fois qu'ils s'étaient vu, il s'était une nouvelle fois pris tout un tas d'insultes en pleine face. De quoi être remis dans le droit chemin, il parait. Donc, rien de bien concret, même s'il ne voulait pas abandonner. « Ouai enfin, voilà quoi, ma vie sentimentale n'est pas un sujet des plus croustillants, je ne pourrai pas te divertir avec ça » S'enquit-il, en arrivant prêt de l'hôpital, voyant déjà la grande bâtisse, cette allure impressionnante, mais aussi assez étrange. Tout le monde n'aimait pas les hôpitaux, fallait se faire une raison, on n'y venait pas pour une visite de courtoisie. Valérian aimait ce lieu, y travaillant, pour les autres, c'était pas la même chose. C'est comme à chaque fois qu'on va voir un médecin, on en ressort toujours trois plus malade qu'en y entrant Bref, il entra pas l'entrée VIP , enfin, l'entrée du personnel quoi et alla garer la voiture. « Par contre, raiponce a trouvé son bonheur ? » Oui, s'il lui avait répondu, alors qu'il n'aimait pas ce genre de conversation, elle devait aussi lui répondre.

one year later

superman. [i]⚓ It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. « Hum ... Je ne dirai pas ça comme ça en fait. » J'avias bien deviné qu'il n'était pas seule. Un beau brun comme lui et les filles du red light pourront le confirmer, il est charmant. Il y a bien une fille qui fait chavirer son coeur. Et j'en conclue que oui par sa nervosité sur ce sujet là. Il continua son explication et je regarde devant moi la route qui défile. « Disons que beau brun à trouver sa raiponce, mais que sa raiponce n'a pas trouvé son beau brun, vois-tu. ». Il prit un sourire angélique. Je sortis d'un coup de folie. " Elle ne tardera pas de revenir... On ne peut pas te résister. ", dis-je dans le sérieux d'un sourire. Je continua. " Crois-moi tu le sais au fond de toi. Mais tu ne te l'avoues pas encore. ", dis-je pointant le doigt sur mon coeur espérant qu'il comprendra sa signification. Je dis cette phrase d'un naturelle comme si je savais très bien ce qu'il se passe entre cette jeune femme et lui. Oui, je ressens cette même peine. Je ne sais pas si je veux retourner dans les bras d'Eze. Mais au fond de mon coeur, je le veux. Mais je ne fais rien pour le paraitre et le vouloir vraiment. Je passe de bras de bras masculins chaque soirs. Donc le conseil que je pourrais lui donner c'est d'y faire face et de se confronter à cette peine et aux yeux de l'amour qui sera en face de toi. Même si ça pourrait véritablement faire mal, je le conçois. « Ouai enfin, voilà quoi, ma vie sentimentale n'est pas un sujet des plus croustillants, je ne pourrai pas te divertir avec ça » Comme tout à l'heure, il resta très modeste dans ses explications. Il ne veut pas se confier. Ou il n'y arrive pas. Je ne sais pas. " Arrête avec ta modestie. Du moins, si un jour tu veux te confier à moi et m'en dire plus. Tu sais que je suis là. Je viendrai le plus vite que possible. ". Oui il pourra même me téléphoner la nuit, je ne serai pas désagréable. Imaginant la peine, je l'écouterai avec mes deux oreilles. Je le rassurai de ma voix la plus claire. C'est vrai qu'on a été proche, très proche il y a un an. Mais c'est pas pour cela qu'il ne pourra pas. C'est même peut-être mieux. On arriva à l'hôpital. « Raiponce n'en a pas fini avec son histoire et son conte de fée non plus. », dis-je pensivement. Oui, elle a bien plus de chapitres que dans la normale.

Invité

Azylis & Valérian

« Elle ne tardera pas de revenir... On ne peut pas te résister ... Crois-moi tu le sais au fond de toi. Mais tu ne te l'avoues pas encore. » Valérian ne préféra pas répondre, il n'en était pas si sûr, certainement pas. Il avait tout fait foirer il y a un an en la plaquant comme si elle ne représentait rien, alors comment lui pardonner une telle chose, il avait du mal à croire qu'elle le pourrait, malgré tout. Il perdit alors légèrement son sourire en repensant à ce fameux jour où il avait osé lui dire que c'était fini en la regardant droit dans les yeux. Pendant toutes ses paroles, il avait entendu son coeur lui crier que ce n'était pas la bonne solution, que ça ne s'arrangerait certainement pas. Mais voilà, il l'avait fait, ne voulant pas être dépendant de quelqu'un. S'il pouvait faire marche arrière, il le ferait. Il pensa d'ailleurs à cette image tout en entreprenant une marche arrière pour se garer dans le parking de l'hôpital, prêt à partir, valait mieux, surtout à quatre heures du matin, avec la fatigue, il préférait nettement.

« Arrête avec ta modestie. Du moins, si un jour tu veux te confier à moi et m'en dire plus. Tu sais que je suis là. Je viendrai le plus vite que possible. » Il tourna son regard vers elle en lui délivrant un magnifique sourire. Azylis, en confidente, ça pouvait être quelque chose de positif. Oui, il la connaissait plutôt bien, enfin, surtout ses parties corporelles, certes, mais ils avaient déjà longuement parlé tous les deux. « Je retiens. Ne te plains pas si un jour, je t'appelle à trois heures du matin ma chère. » Il accompagna ses paroles d'un sublime clin d'oeil comme il savait si bien les faire avant de lui retourner sa question précédente. « Raiponce n'en a pas fini avec son histoire et son conte de fée non plus. » Comme quoi, il n'était pas le seul, et surement pas les seuls d'ailleurs. Les questions sentimentales n'étaient jamais bien accueillie malheureusement, c'était toujours bien trop compliquées. N'importe qui ne pouvait pas dire que tout allait bien, il y avait toujours un petit quelque chose. Parfois plus important, parfois moins, c'était la vie qui était ainsi faite. « Nous sommes des indécis, ou des incompris, à voir. » Lança-t-il, sans vraiment réfléchir avant de détacher sa ceinture, et se tourner vers Azylis. « J'espère sincèrement qu'on se reverra bien beauté, ça m'avait manqué nos petits moments, je t'appellerai surement. » Conclut-il. Oui, il l'appellerait.

one year later

superman. It may sound absurd but don't be naive Even heroes have the right to bleed I may be disturbed but won't you concede Even heroes have the right to dream It's not easy to be me. « Je retiens. Ne te plains pas si un jour, je t'appelle à trois heures du matin ma chère. ». Je n'avais pas à répondre. Il le savait maintenant. Il pouvait compter sur moi. Après j'avoue que c'est son choix. Je ne connais que ses parties du corps comme ma poche. De son torse à ses lèvres ! Je l'avoue que j'y cédèrai bien encore une fois mais son coeur y est déjà pris et je ne veux pas me faire trop d'ennemis. Surtout si ça causerai des ennuis. Puis, je vois ses yeux. Je vois son regard quand il m'a parlé de son histoire avec cette jeune femme. Il a été brisé comme il aurait pu la briser. Tant de possibilités qui pourrait le toucher même si ça le blâmer lui, en la faisant souffrir. Ses yeux pétillés quand ses pensées se tournaient vers elle en pensant à son jolie visage. Tout cela me rappelais la fois ou j'avais rencontré Eze. La première fois ou j'ai vu ses yeux prunelles me fixés. J'avais la sensation d'être nue en public. Il m'avait déshabillé du regard et j'avais apprécié. Non seulement cela m'avait fais penser à notre première rencontre. Mais aussi à l'état de Eze à cet instant-là. Est-il entrain de danser entouré de magnifiques gazelles ou justement assis dans son canapé la bière à la main se tourmentant les pensées. Je me justifia que c'était lui, sa faute et rien ni personne d'autres. Oui, j'aurai pu lui dire que je m'en allais. Qu'il valait qu'il ne me suive pas. Maintenant, j'hésite. Il me manque, oui je dois bien l'avouer que de ne plus voir son visage me manque. Trois jours à me blâmer moi toute seule. Il m'avait demander à son tour comment était ma vie sentimentale. Comme lui, je lui avait répondu simplement sans rien précisé. Mais je le sentais même avant qu'il ne me dise « Nous sommes des indécis, ou des incompris, à voir. » qu'il comprenait ma situation. Alors j'esquisse un sourire sur mes lèvres. Et dans un même mouvement, on se retrouva face à face dans la voiture. Il conclut cette soirée. « J'espère sincèrement qu'on se reverra bien beauté, ça m'avait manqué nos petits moments, je t'appellerai surement. ». " J'espère bien aussi, n'attendons pas un an pour se revoir . ça m'avait manqué de voir ta bouille, beau brun. ", plaisantai-je mélancoliquement. J'ouvris la portière et lui dis. " Bonne garde de nuit. Tu seras le superman de leurs nuits. Et son superman de son coeur ". Elle hésita voulant l'embrasser signe d'amitié. Mais conclut cette soirée par un baiser sur sa joue. Elle se tourna pour partir...

Spoiler:

TERMINE