« We are golden. » ✖ PLÙM.

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✖PLÙM&CASTIEL✖
« we are golden »

✖ Une journée banale. Enfin, si on peut dire ça. Il a travaillé toute la journée, de dix heures jusqu'à quinze heures. Ensuite, il est rentré chez lui. Là, quelqu'un l'attend. Non, pas quelqu'un à proprement parlé, mais pour lui, son chien est comme une personne. Il lui fait la fête, l'accueille même quand il rentre tard, et ne lui en veut jamais. Des croquettes & des caresses pour le rendre joyeux... bref, la facilité quoi ! Ah, si seulement c'était aussi simple avec les femmes... [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Enfin bref. Il saute dans le douche et en sortant, roupille deux heures sur le divan en face de la télé pour être en forme pour ce soir. D'ailleurs, il fait un rêve bizarre. Il rêve de cette fille avec qui il a une relation un peu étrange. Vous savez, cette fille qui a un nom bizarre aussi, hmm... Ah oui, Plùm ! Dans son rêve, ils... ouais, non, ok, on ne va rien dire, pas besoin de descriptions en fin de compte n'est-ce pas ? :siffle: Il se réveille plus tard, sceptique. Ils ne sont jamais arrivés là avec la miss Maltais, mais qui sait hein ? N'empêche que lui ça ne le dérangerait pas.. Mais bon, il est bien trop fier pour l'avouer. Ah, la fierté.. Il se prépare, enfile une chemise sombre, un pantalon & sort, saluant son petit chiot au passage. Il prend sa voiture & en moins de quinze minutes, il est de nouveau au bar où il bosse. Néanmoins, la soirée est calme ; il n'y a pas grand monde. Encore un peu pensif quant à son rêve quelque peu entreprenant avec la belle brune, il s'approche alors d'une fille qui lui jette des coups d'oeil depuis au moins dix minutes. Ils commencent alors à discuter, et il ne voit pas la silhouette qui s'approche & se dirige vers eux, faisant mine d'être absorbé par les paroles de la blonde à qui il parle – pourtant, elle est vraiment inintéressante comme fille.

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❝ TONIGHT, WE ARE YOUNG. ❞ ღ plùm&castiel [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Plùm, si jamais Val' te coince tu es foutue. Oh c'est bon, calme-toi, personne ne va s'en rendre compte. Je marquai une pause avant d'ajouter furieuse: Et puis arrête avec Val', ce n'est pas mon père d'accord ? Ce genre de commentaires commencent vraiment à me taper sur les nerfs. Qu'on me foute la paix un peu. J'ai perdu mes parents, je suis à présent orpheline. Certes Valérian est responsable de notre garde à moi et Mathéo mais il n'a aucun droit de se prendre pour Papa. Chose que je ne vais pas tarder à lui faire remarquer, d'ailleurs. Je lui laisse juste un peu de temps histoire que les choses se calment un peu à la maison surtout du côté de Mathéo. Ce dernier ne m'adresse toujours pas la parole. Il est tout le temps enfermé dans sa chambre. Je l'entends pleurer le soir, voir même crier certaines nuits. Ça me tue. Le pire c'est que je le regarde comme ça, incapable de faire quoi que ce soit pour le consoler. Je faillis pousser un cri au moment ou Esmé me secoua pour me faire sortir de mes pensées. Vingt-heure, il était temps que j'y aille. Valérian avait une autre soirée de garde à l'hôpital et j'en profitai donc pour sortir. Mettant une robe noire simple - pas trop courte pour faire prostituée mais assez pour montrer mes belles jambes, je détachai mes cheveux et quittai la maison. Le Red Light se trouvait à quelques kilomètres de chez nous. Cela me prit donc environ dix minutes pour y arriver. Fausses cartes d'identité, s'il vous plait, ne me trahissez pas. Le pire c'est que je vais avoir dix-huit ans dans quelques mois. C'est vraiment con de m'interdire de fréquenter ce genre d'endroits. On devrait juger les gens par rapport à autre chose que leur âge. Ça m'agace de devoir à chaque fois répliquer que j'ai dix-sept ans. Les gens sont tout le temps surpris suite à ma réponse. Ils disent que je suis beaucoup plus mure que j'en ai l'air. Sûrement. Ou peut-être qu'ils ne me connaissent pas assez. Enfin bref. La file était énormément longue et cela joua en ma faveur. On me laissa entrer ne jetant qu'un coup d'oeil bref à la carte d'identité. ENFIN LIBRE. Secouant presque les bras un peu partout, j'affichai un grand sourire en me retrouvant enfin à l'intérieur du Red Light. Je balayais rapidement du regard la boite avant de m'interrompre en voyant quelqu'un qui m'était extrêmement familier au bar. Attend-moi ici, Esmé. Je nous cherche à boire. Arrivée au comptoir, je fronçai les sourcils en voyant que Castiel était plongé dans une discussion ... pas du tout intéressante avec une jeune femme. Vexée qu'il n'ait pas remarqué mon entrée. Je me transformai rapidement en cette petite gamine de quatre ans jalouse et possessive à qui on a pris son " jouet". Saisissant le premier verre de vodka se trouvant miraculeusement en ma portée, je le renversai sur la pauvre inconnue. Oh mon Dieu, quelle maladroite. Excusez-moi. Je suis vraiment désolée. Oups.

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Non, non, il n'a pas vu son entrée du tout. Il fait mine d'être plongé dans la discussion de la blondasse refaite de la tête aux pieds en passant par la poitrine, ce qu'il trouve vachement vulgaire & très moche pour être franc, mais en réalité, il pense à son rêve. Et puis d'un seul coup, alors qu'il soupire et se demande combien de temps va encore durer l'histoire de cette pauvre fille, quelqu'un vient à sa rescousse. Enfin, à sa rescousse, c'est un bien grand mot pour être franc hein. En fait, d'un seul coup, l'inconnue se retrouve mouillée. A sentir l'odeur, c'est un alcool fort, Castiel parierait sur de la vodka ou du rhum. Il tourne la tête vers celle qui a fait cette 'maladresse', même pas surpris de voir que c'est Bryséïs. En même temps, qui d'autre, hein ? Il regarde la blonde s'enfuir en courant, jurant contre tout le monde et il se met à rire. Il s'accoude plus près de Plùm & plonge son regard dans le sien. « Tiens donc, Brybry. J'aurais dû me douter que tu sortirais tes griffes de sorcière dès que je m'approcherais de quelqu'un. » Oui, il la provoque. Mais entre eux, c'est un jeu. Un passe-temps. Quelque chose de nécessaire dans leur relation. De même que le besoin qu'il a de toujours la charrier. Au fond, il l'adore. Mais il est bien trop fier pour admettre ne serait-ce qu'elle lui plait, qu'elle l'intrigue. « Bon, je te sers quoi Carabosse ? Et puis cesse de me servir ta tête de désolée, je sais que tu ne l'es pas le moins du monde. » Ben oui, la sorcière Carabosse, vous connaissez pas ? Roh eh puis, il commence à la connaître hein la petite Plùmette.

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La petite blondasse se leva brusquement avant de se casser en lançant des jurons. Très glamour. J'étouffai un rire en la regardant avant de reporter mon attention à nouveau sur Castiel. Ce dernier, se rapprochant de moi, ne put se priver de me faire une remarque par rapport à ce que je venais de faire. Je viens à peine de débarquer et le jeu de piques commence déjà. On a toujours été ainsi tous les deux. On s'adore tellement mais on ne peut se priver de se taquiner, de se lancer des piques constamment. Affichant un sourire innocent, je répliquai : Au contraire. Je rendais juste service à cette beauté naturelle. T'imagines ? Etre obligé à t'écouter parler toute une soirée; l'horreur. Elle devrait me remercier au lieu de se comporter de la sorte. Quelle ingrate. De nature jalouse et extrêmement possessive, je n'accepte guère que les inconnus s'approchent un peu trop de mes "amis". Je suis gentille certes mais quand on me cherche et bien... on me trouve, je suppose. Enfin bref. J'aurais très bien pu dire clairement à Castiel que cela me rendait dingue qu'il ait raté mon entrée et encore plus qu'il soit autant plongé dans une discussion en compagnie de l'autre fille. Néanmoins, j'ai bien trop d'orgueil pour le faire. C'est d'ailleurs cela notre problème à tous les deux. On est trop fiers, trop impulsifs et c'est donc toujours la fiesta quand on se retrouve. D'ailleurs bombe à retardement que je suis, je suis sûre et certaine que j'exploserai très bientôt suite à une de ses remarques. Bon, je te sers quoi Carabosse ? Et puis cesse de me servir ta tête de désolée, je sais que tu ne l'es pas le moins du monde. Oui, apparemment j'ai parlé un peu trop vite; Carabosse ? Et puis quoi encore ? Vexée, je croisai les bras avant d'ajouter d'un ton sec: Appelle-moi encore une fois comme ça et ce ne sera pas seulement un verre de Vodka que t'auras en pleine figure. Trop fière de ma fausse carte d'identité, je m'adressai au barman : Vodka cerise, s'il vous plait et... un verre d'eau pour monsieur. Pauvre créature. Il ne tient pas du tout l'alcool. Avec mon sourire angélique, on ne pouvait se douter qu'il s'agissait d'une fausse carte d'identité. Et puis je sais tellement mentir... bizarrement. Je ne me reconnais même plus. Bref. Buvant une grande gorgée de mon verre j'ajoutai en me tournant enfin vers Castiel: Je dois avouer que je suis déçue. Tu n'as rien trouvé de mieux que mademoiselle Plastic Boobs ? Désespéré à ce point ?

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« we are golden »

feat. Plùm-Briséïs

Il pousse un petit soupir. Elle l'insupporte mais il l'adore. Ouais, cherchez l'erreur. Qui a dit que Castiel est normal de toute façon ? Personne, c'est bien ce qui me semblait. « Au contraire. Je rendais juste service à cette beauté naturelle. T'imagines ? Etre obligé à t'écouter parler toute une soirée; l'horreur. Elle devrait me remercier au lieu de se comporter de la sorte. Quelle ingrate. :non: » Son sourire innocent n'est que tromperie, il le sait. Elle est venue là avec pour seul but de l'importuner, il pourrait le parier. C'est dans sa nature, à cette petite brune, de l'embêter. Il pourrait se débarrasser d'elle, mais la vérité c'est qu'il ne peut pas s'en passer. Ouais, ambiguë comme pensée, je sais. Elle croise ses bras et le toise avec une mine vexée; cela le fait sourire. « Appelle-moi encore une fois comme ça et ce ne sera pas seulement un verre de Vodka que t'auras en pleine figure. :fuck » Il lui tire la langue. Un vrai gosse, surtout quand il est avec elle. Pouvoir l'embêter est une vraie partie de plaisir. Il ne répond rien, après-tout, la soirée ne fait que commencer n'est-ce pas ? « We are golden. » ✖ PLÙM. 198075110

« Vodka cerise, s'il vous plait et... un verre d'eau pour monsieur. Pauvre créature. Il ne tient pas du tout l'alcool. « We are golden. » ✖ PLÙM. 198075110

» Castiel hausse les sourcils & regarde à qui elle s'adresse. Steve, un serveur. « Vas-y Steve, je m'en charge. » Il contourne le comptoir, s'éloignant d'elle, et revient pour se placer en face d'elle. « Je te perturbe au point que tu ne te souviens pas que c'est moi, le barman, ici ? » Eh bien oui, il lui a pourtant bien demandé "qu'est-ce que JE te sers", mais la pauvre semble un peu perturbée. « We are golden. » ✖ PLÙM. 3105364888

Eh oui, au Red Light, c'est lui le barman, il lui semble pourtant que ce n'est pas nouveau & qu'elle le sait. Mais c'est amusant de voir comme elle semble à côté de la plaque. « Et pourtant, tu n'as même pas encore bu. » dit-il avec un sourire en posant devant elle son verre, l'observant droit dans les yeux avec amusement & provocation. « Je dois avouer que je suis déçue. Tu n'as rien trouvé de mieux que mademoiselle Plastic Boobs ? Désespéré à ce point ? » Il esquisse un sourire aguicheur et se penche sur le comptoir vers elle. « Eh bien non, tu n'étais pas encore arrivée. » Voilà maintenant qu'il la charme. Changement de technique ? Oh oui, il intervertit beaucoup les deux façons de se rapprocher d'elle. Un coup il l'enfonce, un coup il la choie.

créée par Matrona

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Je te perturbe au point que tu ne te souviens pas que c'est moi, le barman, ici ?

Eh bien non, tu n'étais pas encore arrivée.

Si tu crois que je suis une cible extrêmement facile comme l'autre Blondette, tu te trompes mon cher Castiel. « We are golden. » ✖ PLÙM. 3105364888

Je suis même vexée que tu réfléchisses de la sorte. « We are golden. » ✖ PLÙM. 1810114945

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Tu sens son regard te suivre et te détailler, mais au début, tu ne dis rien. Peut-être te fais-tu des idées simplement parce que tu aimerais qu'elle te regarde. Parce que tu aimerais plus. Et puis au fond, si cela est vrai, et bien ça te flatte. Que voulez-vous, comme tous les mecs, tu as un bel égo. Pour vérifier, tu relèves les yeux & croise son regard. Qu'elle détourne. Bingo. Tu as vu juste, mais préfères encore ne rien dire. En effet, ce soir, tu sembles être prêt. Prêt à quoi au juste ? La démolir entièrement à grands coups de piques bien trouvées, ou à la charmer pour enfin avoir la chance de la toucher ? Tu ne sais pas trop. Tu poses son verre devant elle & te contentes de l'observer, sans aucune gênes tu dois l'avouer. « Si tu crois que je suis une cible extrêmement facile comme l'autre Blondette, tu te trompes mon cher Castiel. [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]» Un sourire malicieux étire les lèvres, mais tu attends, sentant qu'elle va encore parler de toute façon. « Je suis même vexée que tu réfléchisses de la sorte. [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] » Encore une fois, tu as raison; tu commences à bien la connaître cette petite Plùm. Tu te penches un peu plus vers elle, lui murmurant alors en plongeant ton regard dans le sien : « Voyons, Briséïs, nous savons tous les deux que si tu étais une cible extrêmement facile, le jeu ne serait pas intéressant et nous ne serions pas là en ce moment-même. » Tu te recules alors quelques secondes plus tard pour servir un client qui t'interpelle, puis enfin revient vers elle. Tu t'accoudes au comptoir, la regardant simplement. « Alors, que me raconte ma brune préférée ? » Le tout prononcé sur un ton qui frise le ridicule et l'ironique, bien sûr. Attendez, on ne perd pas les vieilles habitudes, n'est-ce pas ?

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Voyons, Briséïs, nous savons tous les deux que si tu étais une cible extrêmement facile, le jeu ne serait pas intéressant et nous ne serions pas là en ce moment-même. Narquois, moqueur, malicieux. Tu me rappelles subitement la raison qui nous a poussés tous les deux à jouer à ce jeu dangereux. Taquin, tu t'éloignes de moi pour servir d'autres clients avant de me regarder naturellement suite à ta réplique. Je me calme, j'essaie de rester impassible. Je ne te permettrai pas de me déchiffrer, de lire en moi aussi facilement que tu ne le crois. Ou est-ce trop tard ? Je soupire m'abandonnant à la joie de l'alcool. Tu changes de sujet rapidement. L'on se retrouve alors dans une situation totalement différente, beaucoup moins... " intéressante". Tu as repris tes bonnes vieilles habitudes, hein mon Castiel ? Tu ne peux pousser le jeu à bout pour voir ce que ça pourrait donner. Aurais-tu peur que ça se termine ? Que l'on trouve finalement certaines réponses et que l'on se rende compte que notre relation n'est pas aussi particulière qu'elle en a l'air ? Sûrement. Je souris, j'y suis habituée. Rien de spécial. C'est toujours le bordel à la maison avec Val et Mathéo. Mais sinon... ça va. Je change de sujet. Le fait de penser à ma situation familiale ne fait que m'agacer. Encore une sourire, pour montrer que tout va bien. Je commence à m'évoluer niveau mensonge et cachotteries, apparemment. Et toi, sinon ?

Spoiler:

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Spoiler:

Tu lis en elle bien mieux que beaucoup. Simplement parce que derrière votre petit jeu se cache une grande complicité peut-être ? Tu ne veux pas le montrer, mais tu l'aimes bien, cette petite Plumette. Tu ne l'avoues pas, mais tu la désires de plus en plus fort chaque fois que votre jeu commence. Et oui, tu as peur de le terminer. Peur que le jeu prenne fin. Peur qu'en arrivant au but tant désiré, tu te lasses. Ou qu'elle se lasse, elle. Oui, au fond, ça te fait flipper. « Rien de spécial. C'est toujours le bordel à la maison avec Val et Mathéo. Mais sinon... ça va. » Tu esquisses un sourire. Tu n'es pas dupe, tu le sens. Tu commences à la connaître. Mais tu ne diras rien. Cela ne fait pas parti de votre jeu. Votre jeu, c'est de vous persécuter, l'un et l'autre à tour de rôle. « J'vois, j'espère que Val te rend la vie dure. » dis-tu doucement avec un sourire, connaissant très bien l'infirmier. « Et toi, sinon ? » Bien sûr, la question t'es retournée. Toi ? « Bah, la routine. » Tu la regardes droit dans les yeux, cherchant son regard. Tu te penches un peu plus vers elle, comme pour l'observer avec minutie, sachant pertinemment qu'elle est l'une des seules avec qui tu te permets de la lorgner ainsi. Cela aussi, c'est comme une règle du jeu. Mais dis-moi, Castiel, votre jeu, a-t-il une limite ?